Les poches vides [Zàzmi Côse]

Tu te réveilles un beau matin, au milieu d'une route très fréquentée, à l'heure de pointe des travailleurs chevronnés. Tu te relèves, titubant, boitant, le monde tourne et vrille autour de toi, mais ce n'est là que l'effet d'un breuvage de trop, bu une nuit alors que tu voulais t'amuser. Tu ne te demandes même pas ce que tu fais là, de toute façon l'alcool bloque tes pensées, et seules les choses importantes pour ta survie ressurgiront dans ce moment difficile. Par exemple, trouver de l'alcool, trouver de l'argent ou s'écarter du danger... L'alcool est dans ton sang, l'argent est dans une bourse, par terre, face à toi, et le danger... Il est partout autour de toi, n'avais tu pas remarqué plus tôt les longues oreilles pointues des habitants ?

Bon courage.



[5 lignes minimum, je te ferai des passages avec un temps limite, nous déciderons tous les deux de ça sur la Chatbox : Je posterai et tu auras trente minutes ou moins à partir de ce moment pour répondre. Lance aussi un dé à chacun  de tes posts, un lancé égal à un échouera automatiquement ta quête.]

La bouche pâteuse et un mal de crâne comme si une armée de dragon se baladait sur son cerveau. Tel était le réveil de Zàzmi Côse. Il ouvrit les yeux et le soleil déjà haut dans le ciel l'aveugla, il entendait beaucoup de bruit. Où était-il ? Zàzmi se releva, fit deux-trois pas et retomba au sol.

* Arghhh ! Ce n'est pas possible, quel est ce maléfice ?! Ça ne peut être les bières d'hier soir, les bières ne font jamais de mal aux nains ... *

En regardant autour de lui toujours au sol il se rendit vite compte qu'il était au bord d'une route d'une cité Elfique. Son sang ne fit qu'un tour et le réveilla un peu plus.

* Rah ! Ces vermines d'elfes, ils ont dû m'empoisonner avec des potions bien de chez eux, c'est la seule explication à mon mal ... *

Il s’écarta un peu de la route, et en se retournant de nouveau vers elle, vit un bourse certainement pleine d'Oris devant lui. Il lui fallait cette bourse, si quelqu'un l'avait abandonné ici c'est qu'il n'en voulait plus.

* Je n'ai qu'à me lever tranquillement et a aller ramasser cette bourse. Si on me demande quelque chose après tout c'est la mienne et je l'ai laissé tombé par mégarde. Et les elfes n'ont rien a faire des Oris, un peuple aussi peu civilisé et végétarien doit faire ses transactions en brindilles ou en feuilles de chêne. *

Zàzmi était prêt a foncer droit sur la bourse mais se rappela au dernier moment que les elfes était des êtres méprisables qui avait pour unique plaisir d’empêcher les nains de faire ce qui leurs plait. Il prit d'abord la décision de regarder tout ce qu'il y avait autour de lui afin de savoir si quelque chose d'utile pouvais l'aider à parvenir a son but.

Des choses utiles ? Et bien, à part des brindilles et quelques feuilles de chêne au sol, tu ne trouves rien de bien intéressant. Tu tournes autour de toi même pour le remarquer, ta venue en cité elfe était déjà une attraction pour les gens daignant baisser leurs regards jusque toi, maintenant tu es une source de moquerie profonde chez le peuple sylvain. C'est tout.

N'oublie pas tes lancés de dès, sans quoi je devrai te pénaliser.

Bon, il n'y avait rien d'intéressant au sol. Zàzmi prit donc la décision de courir vers la bourse et de la ramasser. Mais au premier pas il se rendit vite compte que c'était une mauvaise idée, sa tête tournait et il faillit retomber de plus bel.

* Argh, ce mal de crâne est horrible. *

Les elfes qui le regardaient se moquaient ouvertement de lui, et les tambours dans sa tête l’empêchait de réfléchir et donc de répondre quoi que ce sois à ces mécréants. Il préféra donc se diriger vers la bourse du pas le plus assuré et naturel qui lui était possible de produire. Les elfes l'évitaient à peine et un le bouscula même sans s'excuser et sans même lui accorder un regard. Zàzmi s'effondra au sol de nouveau. Il décida de se relever aussi rapidement que possible, c'est à dire une bonne dizaines de secondes, et reprit sa route. Il arrivait enfin à son but ultime cette petite bourse posée au sol. il n'avait plus qu'à se pencher pour l'attraper, il suffit juste de savoir laquelle des deux bourses qu'il voyait était la bonne, l'alcool ne lui permettant pas de distingue, il lança sa main sur la bourse de droite mais celle-ci se referma dans le vide.

* Non d'un gobelin lépreux ! J'étais pourtant sur que c'était celle là ! Ce poison semble très puissant, les elfes sont ils donc capable de créer quelque chose d'aussi fort ? *

Son regard se tourna alors vers l'autre bourse. Plus rien ne pouvait l'arrêter à présent.

Zàzmi Côse a effectué 1 lancé(s) d'un Dé 20 :

20

Un elfe frappe du pieds dans ta bourse, tu as trente minutes pour rattraper ta bourse et ce au prix de nombreux efforts. Plus tu seras rapide et imaginatif dans tes péripéties, plus le Maître du Jeu sera heureux, plus le Maître du Jeu et heureux, plus tu gagnes d'Oris.

Alors que Zàzmi était si proche du but, il vite un pied frapper dans la bourse tant convoité. Incroyable tout était a refaire, il songea au retourné acrobatique pour accéder au nouvel emplacement de la bourse mais changea finalement d'avis, son état ne lui permettait déjà pas sobre alors dans cet état ce n'était pas la peine d'y penser.

J'espère que tu t'éttoufera avec ta prochaine salade ! C'est ce qu'aurait dit Zàzmi à l'elfe qui venait de le mettre dans cette mauvaise posture s'il avait été dans son état normal. Mais au final il ne sorti qu'un :

" Grahhh ... Esp ... Espèce de Vilain ! "

En entendant ce qu'il venait de dire il préféra se taire, ayant provoqué l'hilarité d'une bonne partie des elfes autour de lui. Il se focalisa a nouveau sur son objectif, la bourse. Il la voyait, et il n'y en avait plus qu'une cette fois ci !

* Aller essaye de réfléchir, remet toi ... Ce que tu sais faire de mieux c'est foncer dans le tas. Hé bien faisons ça ! *

Il y avait quelques paires de jambes entre lui et la bourse mais Zàzmi se relava et réunis toutes ses forces pensant aux Oris qui l'attendaient. Il décida de foncer sans même prendre le temps d'éviter les jambes. Il réussi à passer une première paire de jambe, passa le seconde en titubant et son pied raccrocha dans celui d'un elfe qu'il n'avait pas vu. Il s'effondra au sol. En relavant la tête il chercha du regard la bourse, introuvable. Quelqu'un l'aurait ramassé ? Il continua de chercher du regard en se levant.

* Mais c'est impossible où est donc passé cette bourse ?! Non mes petits Oris ... *

Zàzmi baissa la tête de dépit et vit a ses pieds la bourse qu'il convoité depuis si longtemps. Il était en réalité tombé dessus sans le remarqué après s'être emmêler les pieds avec l'elfe.
Il la ramassa aussi tôt en s’écarta de la route aussi vite que possible. Il compterais plus tard.

Le membre 'Zàzmi Côse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé 20' : 15

"Tu as donc la bourse entre tes mains, petit voleur."

Du moins, c'est ce que tu entends, un vieil elfe comme on en fait des milliers, ils sont tous vieux pour vous, les nains, sort ces paroles ou tes yeux effleurent toutes les possibilités que t'offrent cette bourse bien remplie.

"Je dois t'avouer que te voir courir comme ça était très... divertissant, dit-il avant de te voler la bourse. Malgré tout, tu restes un pion de mon jeu et, si tu ne fais pas tout ce que je te dis, tu vas avoir affaire à la justice pour ce vol."



Que comptes-tu faire ? Quelque soit ta réponse, violente, calme, soumise ou dégoutée, prends bien en compte que les différentes réponses sont prévues.

Zàzmi n'en revenait pas il s'était laissé avoir par un de ces maudits elfes. Sont sang ne fit qu'un tour en lui et il ressentit comme un second souffle comme s'il n'avait rien bu depuis 3 semaines. Ou plutôt 2 jours, car 3 semaines c'est plutôt long pour un nain.

Il attrapa sa masse accroché dans son dos et se dirigea droit sur l'elfe.

" Ecoutes bien le végétarien épilé ! La justice locale ne me fait absolument pas peur. Si tu ne me rends pas cette bourse immédiatement ma masse finira sur ton crâne, et il ne restera de toi qu'un odeur de décomposition dans le caniveau. De plus tant que tu n'as aucune preuve que cette bourse t'appartiens, tu me l'a arraché des mains donc le seul et unique voleur ici c'est toi."

Zàzmi était déterminé, il fixait l’elfe du regard prêt à utiliser sa masse qu'il tenait fermement. S'il approchait il la prendrait dans le flanc, s'il essayait de s'enfuir il la prendrait dans les jambes.

* Surtout ne le quitte pas du regard soit prêt à tout. *

Se répétait Zàzmi dans la tête, il ne devait pas se déconcentrer, il ne devait pas prêt attention à tout ce qu'il y avait autour de lui, simplement rester focaliser sur ce nouvelle ennemi. Rien ni personne ne pouvait se mettre en travers de son premier objectif, et cet elfe comprendrait bien vite à quoi il s'est frotté en décidant de se jouer de Zàzmi. Il n'est pas du genre à rester sans rien faire, surtout lorsqu'il est question d'Oris.

Le membre 'Zàzmi Côse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé 20' : 19

Le vieil elfe te regarde en souriant, caresse son nom, "Elconar", brodé sur la bourse, et rit.
Tu es emmené en prison, sans pouvoir rien faire. Jette un dé de vingt et croise les doigts.

Alors que Zàzmi ne quittait pas l'elfe des yeux, celui-ci tourna sa bourse dans sa main et on pouvait y lire "Elconar" brodé. Elconar, puisque cela devait être son nom, adressait un sourire narquois à Zàzmi. Alors qu'il s’apprêtait à abattre sa masse dans les jambes de l'elfe celui-ci le pointa du doigt. Quelque peut circonspect par ce geste Zàzmi se déroba à la règle qu'il s'était imposé plus tôt et regarda autour de lui. Des dizaines de flèches étaient braqué sur lui. Il y avait même un mamie elfique qui bandait son arc dans sa direction.

* Elle peut encore visé celle là ?*

Zàzmi savait qu'il était fait comme un rat il n'avait plus d'autres possibilités que de se rendre.

" Non d'une b... "

Zàzmi n'eu même pas le temps de finir sa phrase que plusieurs elfes s'étaient jetté sur lui alors qu'il entamait de ranger sa masse. Il se réveilla dans une petite cellule avec des courbatures et un mal de crâne horrible. Des barreau métalliques empêchaient toute fuite, le sol lui était en bois, peut-être était-ce son seul moyen de fuite.

* Comment des êtres si frèles ont ils pu m'infliger pareils souffrances ? *

Alors qu'il regardait autour de lui Zàzmi se rendit compte qu'il n'avait plus sa masse. Il se précipita alors contre les barreaux.

" Rendez moi ma masse ! Il y a un clou qui dépasse d'une des planches de votre sol je vais le remettre ! "

N'ayant pas de réponses dans l'immédiat Zàzmi s’énerva rapidement.

" Aller n'en faisons pas toute une histoire, demander à cette salade moisie de me rendre mon or et libérez moi et je vous promet de ne pas raser votre ville ! Je trouve cette offre plutôt honnête qu'en pensez vous ? "

Zàzmi ne se décrochait pas des barreaux espérant une réponse aussi rapidement que possible.

" Vous savez je peux devenir un prisonnier très très chiant, et je ne suis pas sur que vous résistiez à toutes mes insultes très longtemps.

Aller !

Bande de pet d'ogres ? "

Zàzmi devait réussir à se sortir de là coûte que coûte.

Le membre 'Zàzmi Côse' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Dé 20' : 9

Pour quelques Oris, te voilà assis seul dans une prison régit par les Elfes, un peuple qui, en sommes et de par nature, depuis toujours et pour toujours, est ton pire ennemi. Ton humour coloré, nuancé et bien placé n'a pas atteint l'âme délicate et raffinée de tes geôliers. Dehors, le peuple elfique hurle ton nom, rage et enrage pour qu'on te tue le plus vite possible. Tu entends qu'on t'accuse de vol, de recèle de bien sociaux et de crime contre l'humanité, et avant que tu aies pu te frotter la barbe et imaginer le gout d'un nain coupé en fines tranches à la broche, te voilà sur une estrade, face à la mort.

Une personne monte à tes côtés, tu la reconnais immédiatement, Elconar en personne. Il te regarde et sourit, et ensuite entonne de sa plus belle voix :

- Toi qui te croit drôle, fais nous donc rire ! Conte nous ta plus grande aventure drolistique, fais nous pleurer de joie et haleter d'impatience, attendant une de tes nouvelles blagues !


Tu peux raconter ce que tu veux, épopée comme tragédie, tant qu'elle est drôle et qu'elle fait plus de quinze lignes. Bien que ton personnage "vienne" de naître, son imagination étant aussi débordante que le mensonge qu'il va inventer, tu peux écrire TOUT ce que tu veux. Bon courage, ne jette pas de dès à la fin de ton post.