Un nouveau départ [RP Libre]

Après avoir pris ses affaires avec lui, il s'élança dans cette nouvelle aventure. Le "cocon" qui l'avait accueilli à sa naissance avait maintenant disparu et il ne pouvait plus faire marche arrière. Il est jeune et a tant de choses à découvrir.
Il marche alors pendant quelques heures et fini par sortir de la petite forêt dans laquelle il était apparu, a présent, il est dans une vaste plaine. Il n'en voit d'ailleurs pas le bout. Le soleil se fit un peu trop ressentir et il baisse un peu la tête. Ses cheveux tombèrent alors devant ses yeux, lui offrent une semi-protection solaire. Il commence donc à arpenter ce lieu paisible au premier abord. Pour une entrée dans un monde inconnu, c'est une bonne entrée. Il sourit alors pleinement et observa un troupeau d'équidés qui galopait sur la prairie. Il ne remarque pas tout de suite, mais l'un d'eux est blessé et a de la peine à suivre le groupe.
Milos ne réfléchit pas et fonce vers la bête en courant puis ralenti le pas voyant qu'elle le fuyait. Il finit par s'approcher tout doucement de la bête. Il pense que... Des Brish. Oui, c'était leurs noms. Il approche sa main avec une infime douceur et lenteur. La bête s'immobilise d'abord et le fixe droit dans les yeux. Une sorte d'étincelle en émane et il put caresser le poils de l'animal. Il examine alors la blessure, elle est mineure, une écorchure, elle aurait fini par disparaitre même s'il n'avait pas été là. Il prit quand même de longues herbes qui poussent à côté et entourent la pattes de l'animal avec. Celui-ci proteste un peu, mais se laisse finalement faire. Il sourit et prononce ses premiers mots dans ce monde en caressant le museau de la créature
    - Là, c'est bien. Repose-toi.

Le soleil inondait mon visage de sa chaleur douce. J'avançais dans la forêt, elle était dense. Je regardais un partout en silence, je n'avais jamais vu des couleurs aussi flamboyante. Je crois que c'était l'automne. En y repensant, je m'étonnerais toujours de comment la nature s'adapte aux fils saisons pour survivre. Naturellement a force de me baladé sans regarder où je vais je me suis perdue. Je m'en suis pas rendue compte toute suite en effet, mon estomac gargouilla pour me dire qu'il avait faim très faim. Par chance, a force de me baladais comme je le faisais, je me suis retrouvée près d'un petit ruisseau, où ce trouvé des poissons et tout un tas d'arbre a fruit et de petit animaux.Mon instinct de félin me disait de tenter de pêcher comme les chats. Je me mise dans l'eau et je regardais les poissons qui passaient. Je plongeais maladroitement mes pattes dans l'eau afin d'espérée d'avoir par un coup de chance un poisson. Cependant, je n'ai pas pu avoir de prise.

   Finalement, je me suis résignée à grimper aux arbres fruitier pour prendre un ou deux fruits. D'après mes souvenirs, j'ai deux pommes et une poire. Pour un premier repas, honnêtement je ne le regrette pas. Je continuais à avancer en suivant le fils de l'eau, pour sortir de la forêt. J'ai atterrit au beau milieu d'une plaine, il y avait différentes espèces.Tout parait si beau quand on découvre le monde pour la première fois. *Finalement, si je trouve une ville où autre pour m'apprendre quelques rudiments de la vie ici, je pourrais me faire une vie agréable* Pensais-je. Je me suis mise à ronronné de plaisir. Plus j'avançais dans la plaine, plus j'avais envie de dormir.  De ce fait je me suis mise à la recherche d'un arbre qui pouvait me servir de lit pour une petite sieste. Je trouvais mon bonheur assez rapidement. Grimper a un arbre pour un félin c'est facile surtout avec des griffes. Une fois en haut de mon perchoir, je m'installais confortablement pour une petite sieste sans rêve.
Plus tard dans l'après-midi, j'entendis ma branche craqué puis je tombais a terre enfin sur une personne quelques micro-secondes plus tard. J'ai touché le sol avant la branche… La branche quant à elle a atterrit sur ma cheville. Je dis avec une voix de douleur:

-Ma…ma cheville… j'ai…mal.

Ma cheville gauche me lançait. De plus, la pression qui s'exerçait sur mon membre me signalait que ne pouvais pas déplaçais le morceau de bois seule.

Milos était content de ma bonne action. La première dans ce monde inconnu. Pendant que le Brish courrait déjà dans les hautes herbes un peu plus loin, il se dit qu'il avait sans doute un don pour soigner les blessures. Mais il soupira en voyant le bandage par terre au bout de quelques galops. Il avait cru que la bête était blessée, mais c'était juste une ancienne blessure qui était quasiment cicatrisée.
Enfaite, il n'avait aucun don pour ce genre de chose.
Il partit donc se reposer sous un arbre pour profiter de son ombre et repenser à l'animal croiser plus tôt. Il avait eu un contact étrange avec lui. Il ne savait pas ce qui s'était passé, mais, il avait senti une sorte "d'énergie" circuler entre lui et la bête.
Milos Datar était entrain de rêver et au moment où il leva la tête pour regarder les nuages, une branche craqua et une lourde masse tomba sur lui. Il roula dans l'herbe un peu trop de fois à son goût et se releva maladroitement à quelques mètres de ce potentiel danger et prit sa dague dans sa main.
Non... Pas un danger... La bête se plaignait. Il baissa son bras qui tenait la dague pour ne plus montrer de signe agressivité et l'écouta attentivement.

-Ma... Ma cheville... J'ai... Mal.

Elle parlait ?! Il n'était donc pas seul à être doté de la parole dans ce monde. Il faillit hurlé son plaisir, mais se retint de justesse. Il rangea sa dague contre sa ceinture et se mit presque à genoux.

-Je m'appelle Milos Datar. Je suis un ami. Je peux t'aider ?

Il ne savait pas comment l'aider précisément ni si la créature fessait semblant d'être non-agression, mais il était résolu à ne pas attaquer en premier une créature blessée.

Pour mes premières heures sur cette terre, j'étais mal lotie. J'essayais quand même de me dégageait en poussant avec mon pied qui était libre. La branche ne bougeait pas du tout. J'ai décidé d'abandonner, la douleur était stable. J'entendis quelques pas venant vers puis je vis un visage que je ne connaissais pas. Il me parla d'une voix douce:

-Je m'appelle Milos Datar. Je suis un ami. Je peux t'aider ?

ll me parut comme un ange avec un grand sourire. Je restais quelques secondes pour sonder ces intentions. Il n'avait pas l'air de me vouloir du mal. Je dis en respirant pour contrôler ma douleur:

-Je suis Ilarwerna et je ne dis pas non pour un petit coup de main. Je pense qu'il faudra que tu ailles chercher de quoi faire rouler la branche sinon je resterais bloqué pour un bout de moment.

Je commençais à avoir des fourmis dans le long de la jambe. Sans oublier que je devais avoir des échardes pour la simple raison je sentais un peu de sang coulais le long de la cheville. Je dis:

-Je ne veut pas te presser, mais fais vite quand même s'il te plait

Elle m'avait répondu ! J'étais heureux.

-Je suis Ilarwerna et je ne dis pas non pour un petit coup de main. Je pense qu'il faudra que tu ailles chercher de quoi faire rouler la branche sinon je resterais bloqué pour un bout de moment.

Mon sourire s’effaça lorsque je vis du sang coulé le long de sa jambe. Elle me priait de l'aider avec la tête du chat potté. Je ne pouvais donc pas refuser.

-Je ne veux pas te presser, mais fais vite quand même s'il te plaît

Je courus donc vers le brish qui n'étais pas partit bien loin, et le flatta un peu pour l'emmener sur les lieux de l'accident. Je pris la grosse branche qui était tombée sur la pauvre jeune fille et l'animal continuait de brouter. Milos pensant qu'avec la force de l'animal, il aurait pu enlever la bûche facilement, mais Le Brish n'en fessait qu'à ça tête et Milos dut trouver des pierres et un bâton solide pour improviser une sorte de balancier. La bûche roula le long d'une petite pente et faillit renverser le brish qui sauta au-dessus très habilement. S'il avait eu un visage humain, le brish aurait sans doute tiré la langue à Milos avant de déguerpir. Mais Milos ne s'en préoccupait pas, il se baissa sur la blessure de la jeune... Wait? Il avait l'impression de regarder un chat tout à l'heure. Mais ce n'était pas qu'une impression... Il était fasciné par son apparence. Il était bouche bée et affichais un grand sourire.

-Ooooooh

Étaie la seule chose que j’arrivai à dire.

Je vis le garçon qui partit cherché un animal qui décidément ne voulait pas m'aider. Je soupirais un bon et j'admirais le fait d'un parfait inconnu veut me sauver de la branche d'où j'étais prisonnière. Milos repartit pour revenir quelques minutes plus tard avec des pierres et un bois assez solide. À fur et à mesure de le poid de la branche s'estompait, je sentais les fourmis passées et le sang afflué vers le membre qui était compressé.
Je me suis mise à ronronné de plaisir et je me suis mise assise pour voir si j'avais des échardes au niveau de la cheville. Comme je m'en doutais j'en avais trois. Je réfléchissais à comment faire pour les ôter. Le plus simple, était d'utiliser ma souplesse pour les déclouer. Comme un chat qui faisait sa toilette sur ces membres inférieurs. Je les ai prises une à une en les recrachant à terre. Sur le coup, je n'ai pas fait attention aux réactions de Milos. Quand j'entendis son "Ooooh". Je dis surprise:

-Merci de ton aide sans toi je ne sais pas ce que j'aurais pu faire. Au passage tu as l'air surpris de me voir.

Je rigolais un peu afin de discernée mon sauveur et sa personnalité. Je le trouvais énigmatique, je cherchais si n'avais pas quelque chose pour le remercier mais malheureusement non. J'étais gênée sur le coup. J'inspirais et je prit la parole avec un grand sourire:

-Je ne sais pas comment te le dire ,mais cela fais pas longtemps que je suis ici mais vraiment pas longtemps et je n'ai rien pour te remercier. De ce fait si tu veux bien, je voudrais t'aider à mon tour même si je ne risque pas t'être grandement utile car je découvre ce monde. Enfin si tu veux bien...

Je me suis mise a ronronné profondément en espérant que sa réponse soit positive.

Fascinant. Elle était fascinante. Elle n'avait pas les mêmes aptitudes que moi. Elle essayait de s'enlever des petits copeaux de bois avec ses dents. Elle avait aussi de la fourrure à quelques endroits du corps. C'était étrange et fascinant à la fois.

-Merci de ton aide sans toi, je ne sais pas ce que j'aurais pu faire. Au passage, tu as l'air surpris de me voir.

Je souris et ris un peu. En effet, j’étais très étonné, ce monde allait me réserver des tas de surprises. Je la regardais à nouveau, quelque chose dans son regard me plaisait. Elle était belle. Non pas belle comme on le dirait à la première fille qu'on voit et qu'on trouve belle. Non, elle appartenait à une espèce différente de la mienne. Et je trouvais déjà fascinant de pouvoir communiquer avec quelqu'un de différent que moi.

-Je ne sais pas comment te le dire, mais cela fait pas longtemps que je suis ici, mais vraiment pas longtemps et je n'ai rien pour te remercier. De ce fait si tu veux bien, je voudrais t'aider à mon tour même si je ne risque pas t'être grandement utile, car je découvre ce monde. Enfin si tu veux bien...

M'aider...? M'aider à quoi ? Elle découvre aussi le monde. Mais c'était génial. Il semblerait que le Destin, mais apporté un compagnon pour commencer mon aventure. À moins que je me fasse des idées ? Je replaçais une mèche de cheveux rebelle et ris un peu.

- ... Découvrir le monde avec... ? Ça serait une joie de commencer cette aventure avec une créature telle que toi. Je suis sortit d'un oeuf, toi aussi ?

-Oui je suis née d'un oeuf enfin je pense. Tout ce que je m'en souviens c'est que j'ai dû briser quelque chose de dur. dis-je

 Je ne le regardais de plus en plus et je trouvais mignon. Je ne savais pas que les personnes pouvaient être très gentilles. Je regardais au loin et je remarquais que le soleil commençait à ce coucher. Je le regardais en ronronnant. Je  dis:

-Le soleil va se couchait, je pense qu'ici la nuit n'est pas très sûre. Je vais chercher de quoi manger dans la forêt. Tu peux faire un feu avec la branche qui m'a tenu prisonnière.

Je partis vers la forêt en souriant. Je ne sais pas comment mais j'ai réussi a retourné près de la rivière où j'avais trouvé des fruits. Je vis des poissons et je décidais de retenter ma chance. J'entrais dans le cours d'eau et j'observais les cinq poissons faire leur danse. À force de voir leur ballet, je me suis mise à anticiper leur mouvement, alors je suis mise à planter mes griffes au moment où le poisson passa sous ma patte, je le sortis et j'étais heureuse d'avoir réussis à pécher un poisson.Il y avait un peu de sang qui coulait. Cette odeur me faisait un petit quelque chose comme si cela avait réveillé une force maléfique en moi… Enfin j'en suis pas sûre. Je recommençais machinalement et j'ai réussi a péché trois beaux poissons. Plus le temps passait dans ce nouveau monde plus je progressais.En revenant vers Milos, j'entendis des pleures au loin. Je me déviais de la route pour ce que c'était. J'étais méfiante, je mettais une main sur mon katana au cas où si c'était un ennemi. J'arrivais à un buisson, je regardais a travers. Je vis une petite fille qui ressemblait a Milos. Je m'approchais toujours méfiante et silencieusement. Je posais une main sur l'épaule de la fille. À mon contacte elle sursauta en pleure. Je vis qu'elle était jeune très jeune. Je dis:

-Qu'es-ce que tu fais ici ma petite?
-J'ai perdu mon grand-frère snif…. je suis perdue….Voulez-vous bien m'aider?
-Bien sûr, j'ai un ami qui pourrait aussi t'aider. Aller suis-moi.

Je pris la petite par la main et je la conduis près de Milos.

Apparemment, elle était venue aussi d'une sorte d'œuf. Mais d’où venons-nous ? Qui sommes-nous réellement ? Toutes ces questions fusèrent en moi et commençaient à me faire mal à la tête. Je laissais ses questions sans réponses dans un coin de ma tête et me concentrai sur elle et sur ces mots. Elle me regardait avec un sourire étrange, aussi elle ronronnait. C'était comme respiré, mais... Hmm.. En différent. Ouais pour la description, on repassera pensai-je en riant un peu de moi-même. Je me sentis bête.

-Le soleil va se couchait, je pense qu'ici la nuit n'est pas très sûre. Je vais chercher de quoi manger dans la forêt. Tu peux faire un feu avec la branche qui m'a tenu prisonnière.

Elle avait sans doute raison. Mais bizarrement, je n'aurais peut-être pas pensé que la nuit pourrait être aussi dangereuse qu'elle le disait. Je m’exécutais alors pour trouver du petit-bois. Sec de préférences. Il n'y avait pas beaucoup d'arbres dans cette plaine, mais il y avait suffisamment de bois mort au sol ainsi que des herbes sèches.
Je ramassais le tous et les posa au sol pour essayer d'allumer un feu. Au bout de quelques laborieuses heures, je réussis les premières étincelles avec des pierres que je frictionnais. C'est à ce moment qu'Ilawerna revint vers moi son sabre à la main. Je reculai et m'armai aussi de mon sabre. Je croyais qu'elle avait décidé de m'attaquer, mais non, elle passa devant moi et mon expression débile et rejoins une petite fille derrière moi. Quoi ? Je ne l'avais pas entendu ? Trop occupé à faire mon feu. Je pestai contre moi-même et rangeai mon sabre en m'approchant de la petite.

-Qu'est-ce que tu fais ici ma petite ?

-J'ai perdu mon grand-frère snif…. Je suis perdue… Voulez-vous bien m'aider ?

-Bien sûr, j'ai un ami qui pourrait aussi t'aider. Aller suis-moi.

Perdu son grand frère ? Est-ce que ça ne voudrait pas dire... ? Il serait... Pourquoi cette pensée brutale m'avait traversé l'esprit immédiatement ? Je secouai la tête pour m’empêcher de penser à ça.

-Tu dois avoir faim ? Comment t'appelles-tu ?

Demandais-je à la petite fille.

La petite fille sourit a Milos, malgré le fait qu'elle n'était pas rassurée. Ce que j'arrivais à comprendre, car quand on est seule et perdue ce n'est pas évident. Je regardais la lame de mon équipier de voyage et sans cris égard je sortis sa lame de son fourreaux. Je regardais la finesse du fer et sa légèreté. Je savais que je ne pouvais pas combattre avec sa lame ,car elle a été spécialement crée pour lui. Ce que j'appris plus tard grâce à un maître forgeron que j'avais rencontré au cours de mon aventure avec Milos. Je sortis mes poissons d'un petit sac que j'avais trouvée sur le chemin du retour. Je sortis mon Katana et j'embrochais deux poissons dessus. Le dernier alla sur son sabre. Je dis:

-Ne t'inquiète pas c'est juste un support pour faire cuire notre repas. Alors, ma petite comment t'appelles-tu?
-Je suis Miriana. Me répondit-elle. Je me baladais avec mon grand
-Frère dans la forêt et il a entendu quelque chose de bizarre comme un grognement ou je sais pas quoi... Il m'a dit de rester là et de ne pas bougeais qu'il allait venir me chercher... Cela fait deux jours que je l'attends et il n'est toujours pas revenu.

La petite fille s'était mise à pleuré. Je la pris dans mes bras pour la cajolé. *Ce monde est plus dangereux que je ne le pensais. Comment faire pour retrouver son frère? On ne peut pas la gardé avec nous on ne connaît même pas ce monde. * J'avais comme un mauvais pressentiment sur ce coup. Je me levais et je pris les lames. J'attendis quelque minute histoire que le fer soit moins chaud pour enlever les poissons chauds. Je donnais un poisson a Milos, un Miriana et le dernier était pour moi. J'étais heureuse que pris mon premier vrais repas. Tellement heureuse sur le coup que je me suis mise a ronronne sans faire attention. Ce qui a valu le rire de la petite fille. Je regardais la jeune et je dis:

-Tu viens d'où?
-Je viens d'un petit village au nord d'ici. Mon frère est parti aussi vers le village je crois.
-D'accord ma petite. (baille) Bon je vais vous laisser... Je vais me coucher .

Je terminais mon repas et parti me couche contre l'arbre. Je me suis endormis ,mais plus tard dans la nuit, je me réveillais, le feu était éteint et, je vis une ombre sur moi.

Après avoir pris consciences de ton arrivée dans un monde nouveau, tu décide de réunir tes maigres possessions terrestres et de partir explorer ce monde pour enfin répondre à ces questions qui t'obsèdent. Tu passe un certain temps à marcher avant de te rendre compte que les deux grands trucs dans ton dos, mais si tu sais, les ailes pourrait te permettre de voyager plus vite, tu essaye donc de t'en servir. Au début ça te semble compliquer comme si ton corps était réveiller mais pas encore tous tes muscles. Tu commence par les déployer de chaque coté de toi, puis a les faire se mouvoir de plus en plus rapidement pour enfin réussir à décoller du sol par leur seule force, et plus tu commence à les utiliser plus tu te rends compte que ce savoir tu l'as déja mais juste enfouis au fond de toi.


Après quelques heures de voyage alternant voyage a pied et voyage aérien, tu commence à sentir le jour décliné, tu te décide donc à faire un dernier décollage pour essayer de trouver un point plus tranquille dans cette plaine. Une fois arrivé à une certaine hauteur tu semble percevoir au loin une sorte de fumée qui dégage une odeur appétissante, c'est à ce moment que tu te rends compte que tu n'a pas manger depuis ta sortie de l'"œuf".


Une fois arrivé à une centaine de mètre de la source potentiel de la fumée tu te pose doucement en serrant fort ton javelot dans ta main droite et tu replis tes ailes dans ton dos. Au fur et à mesure que tu te rapproche de la source du feu tu semble entendre des fois, et pour toi qui ne connais pas ce monde tu ne sais pas comment considérer ces voix, tu te décide donc d'attendre l'évanouissement total des voix pour aller fouiller leur campement en quête de nourriture. Une fois arrivé au campement tes yeux tous juste habitué à la lumière du feu te font distingué trois silhouette, une d'enfant enfin d'un être de petite taille, une autre d'un être intégralement couvert de peau qui semble fin, et une dernière, la plus proche de toi que tu n'a pas vraiment le temps d'étudier car tu es persuadé de la voir bouger, ce qui te fige.

Je n'avais pas bougé quand le femme chat m'avait pris mon sabre, je savais que je ne ferrais probablement pas le poids si elle décidait de m'attaquais. Mais elle semblait "inoffensive" bien que je restais un peu méfiant.
Elle me donna, à moi et la petite fille, deux des poissons qu'elle avait pêchers.

-Ne t'inquiète pas, c'est juste un support pour faire cuire notre repas. Alors, ma petite comment t'appelles-tu ?

-Je suis Miriana. Je me baladais avec mon grand frère dans la forêt et il a entendu quelque chose de bizarre comme un grognement où je ne sais pas quoi... Il m'a dit de rester là et de ne pas bougeais qu'il allait venir me chercher... Cela fait deux jours que je l'attends et il n'est toujours pas revenu.

Je trouvais cela bizarre, tous comme ma nouvelle amie, je regardais aux alentours par réflexe en sentant la bonne odeur du poisson que j’avais fait rôtir un petit peu dans les flammes. La nuit allait commençait à tombé, et j'avais un curieux sentiment de malaise, ma vision était faible, mais j’eus le temps d'apercevoir une forme ailée dans les cieux, je fronçai les sourcils.

- Y a un truc qui a volé là-bas !

Dis-je avant de ne plus le voir, car les buissons cachaient malheureusement ce côté de la plaine.

Quand je me suis réveillée je vis la forme d'un homme au-dessus de moi. J'étais à peine réveiller, mais je sentais que mon adversaire avait l'air dangereux. Je dis:

-Je ne sais pas ce que tu es où ,mais sache qu'on ne te veux aucun mal et que nous sommes nouveaux ici enfin dans ce monde. Nous voulons juste aider la petite fille...

Je ne savais pas si, l'ombre au-dessus de moi était réceptive à mes paroles. Mais je sentis quelque chose en moi de maléfique. Je me suis mise a pensait aux différentes façons de le tuer au cas-où si je devais me défendre. C'est fou ,mais plus j'y pense plus je me dis que c'était la naissance de moi autre moi. Par réflexe je me suis mise à ronronner. Par là suite je me dirigeait lentement vers le reste de notre nourriture. Je me souvenais que la petite n'avait pas trop faim à cause de ça mauvaise aventure dans la forêt. Je pris le demi-poissons et je le mis sur une feuille tous en ne quittant pas la forme. Je dis avec le plus de calme possible:

-Je sais que ce n'est pas grand-chose mais je pense que si tu as faim cela peux te rassasiée un peu et si tu me laisses une chance à nous tous on pourrait t'aider, car tu as l'air aussi perdu que nous.

Je m'approchais vers la forme et je distinguais son bec et ses ailes. C'était un oiseau... Un prédateur qui avait faim cela se voyait dans son regard. J'inspirais et je tendis le poisson vers lui.

C'était la première fois qu'un être vivant s'adresser à toi, tu ignorait tout des réactions normal à avoir. La forme féline commença d'abord par s'adresser à toi sur un ton se voulant calme "Je ne sais pas ce que tu es où ,mais sache qu'on ne te veux aucun mal et que nous sommes nouveaux ici enfin dans ce monde. Nous voulons juste aider la petite fille..." Tu comprenais parfaitement ce que voulait dire la jeune femme, cependant malgré tout ces airs calme et gentille, tu ne pouvais t’empêcher de ressentir une certaine gène en sa présence comme si tu voyais des éclairs d’agressivité au fond de ses yeux. La jeune créature enchaîna alors "Je sais que ce n'est pas grand-chose mais je pense que si tu as faim cela peux te rassasiée un peu et si tu me laisses une chance à nous tous on pourrait t'aider, car tu as l'air aussi perdu que nous."


Tu te saisis rapidement du poisson quel te tends et l'engloutis à toute vitesse comme si tu avais peur que finalement elle renonce à sa générosité. L'éveil de ce nouveau sens te fait sentir des sensations inconnues. Tu te sens comme dans ton "œuf", tout tes sens se sont engourdis sauf ce nouveau sens, ton goût qui lui se retrouvent démultiplié, plus rien ne fonctionne, ta vue se floute étrangement, les sons s'évanouissent subitement, la caresse du vent dans ton plumage et sur ta peau s'estompe, l'odeur du poisson disparaît à son tour.


Une fois ton maigre mais généreusement offert repas ingurgité, tes sens revienne à la normal sans que tu comprenne vraiment ce qui c'est passer. Tu tentes alors de sourire ce que ton bec ne te permet pas avant de pousser involontairement un croassement sec, avant de te concentrer pour t’exprimer de manière compréhensible : "Désolé de t'avoir effrayer, et merci si c'est ce que l'on dit pour la nourriture.... Désolé de ne pas t'avoir répondu si tu t'es adresser à moi, je n'ai pas tous compris mes sens ont presque tous foutue le camps hormis peut être celui du goût. Je t'avoue que oui je suis assez perdu dans ce monde, et que oui si ça ne gène pas je voudrais bien rester avec vous." En réalité leur compagnie t’importer peu, c'est uniquement la possibilité d'obtenir des réponses à tes questions qui te faisait sociabiliser.