¤ Carte d'Identité ¤
Nom :Prénom : Kamyu
Âge : 13
Espèce : Yokaï, type « Illusion »
Artefact : Ah, flute j'avais oublié.... Un collier qui semble fait d'ambre, représentant un loup et une lune. Son nom est "Yumichi", et il permettra un jour à Kamyu de choisir de quel pouvoir il sera porteur ~ (probablement un pouvoir de sceau)
Arme : Une faux noire décorée, Crystal Dark. Si le sang tâche sa lame et coule dans les gravures qui la décorent, cela révélera des écritures étranges. Elle porte également une paire de dagues.
Capacités :Malédiction de la Nuit et des Ténèbres :
- Don de Prescience, lui permettant de voir ou entrevoir des scènes par lesquelles elle n'est pas concernée ou dont elle est l'auteur. (Ténèbres)
- Salle des Âmes : Lui permet d'envoyer une personne en lui-même pour l'apaiser ou qu'il se repose. Pendant que la cible est sous influence du Don, elle ne peut dormir et prend fatigue et douleur de la personne sur elle. Qui plus est, utiliser ce Don l'épuise fortement.(Nuit)
Bénédiction du Vent et de la Lune :
- Langue des Âmes : Forme plus poussée du Don de parler aux Dragons, elle altère la langue parlée par Kamyu par quelque chose de différents, que tous peuvent comprendre sous certaines conditions (au final, les humanoïdes ont du mal à la comprendre). Ce Don implique également de ressentir fortement les présences, ce qui est déstabilisant même pour les plus aguerris. (Vent)
- Don de Métamorphose : Ce Don permet à Kamyu de prendre une autre forme. Il s'agit de la forme d'un loup. (Lune)
Maîtrise du combat à deux dagues et à la faux
Malus : instabilité psychologique et émotionnelle du personnage. Faible résistance à la chaleur et à une trop forte luminosité. Devra se reposer après un combat ou aura tout simplement tendance à s'évanouir sans crier gare.
¤ Plus en détail ¤
Description physique :Douce figurine de chair, terrifiante poupée de verre...
Blanc. Blanc. Toujours plus de blanc. Jamais assez de blanc. Rajoute-moi encore du blanc, Peintre ! Non, pas ici ! Ici, c'est autre chose que tu dois peindre. Mais oui, toujours du blanc. Je veux du blanc, et il n'y en aura jamais assez. Pas même dans ce paysage de neiges éternelles. Donne-moi du blanc, Poète ! C'est à ton tour, de tes mots enchanteurs, de dépeindre cet immortel blanc qui à jamais me manquera. Pourquoi n'en rajoutes-tu point ? Je suis las de tes couleurs chatoyantes. Pars, pars donc, et amène-moi ton disciple, mais que lui m'offre un monde tout de blanc recouvert ! Pars, Disciple, maintenant que tu as accomplis ton œuvre. Mais même toi ne peut effacer toutes ces couleurs qu'a déposé ton maître... Va, et ramène moi, si tu le peux, ce qui plus de blancheur encore pourront apporter à cette œuvre. Eh bien, artiste, ne peux-tu perfectionner cette blancheur que tes prédécesseurs ont laissée ici ? Ne peux-tu donc que salir cette œuvre d'étincelles de couleurs agressives ? Ah ! Tu prétends donc pouvoir mettre en valeur plus encore ce blanc éclatant que j'ai pu obtenir... Fais donc ! Mais disparais ensuite de ma vue, à jamais ! Je veux rester seul(e)... Seul(e), avec ce blanc éclatant, ce blanc si pur, su blanc omniprésent et pourtant pas assez là qui me manque tant ! Ô, blanc, engloutis-moi à jamais, qu'enfin je Te retrouve.... Toi qui est partie, sans même me laisser ton image si parfaite.... Reste, ô blanc éternel ! Étend plus encore ton influence sur cette frêle œuvre que voici !!
Sombre noirceur de ténèbres, mélancolique être d'ombre...
Pourquoi tant de noir, artiste ? Ah ! Qu'as-tu souillé ma création, mon refuge, ma vie, mon être ? N'es-tu donc qu'un amas de haine envers ce qui reste de ma personne ? Voilà tant d'heures de travail, tant d'heures de terribles recherches, tant d'heures d'insupportables attentes, perdues pour rien ? N'ai-je donc gagné que le mépris, et point de reconnaissance pour toutes ces heures passées à parfaire cette œuvre blanche, et non point de mérite, point de reconnaissance ? Ne m’as-Tu donc laissé que ton mépris, ton regard glacial et hautain que tu jettes sur tous ces êtres inférieurs ? Ne suis-je donc qu’une pâle copie de ceux qui ont gagné ton respect ? Où as-tu donc perdu ta pureté, œuvre qui hante mes jours ? Je ne peux me résoudre à me débarrasser de toi. Tu Lui ressembles trop. Tu portes Ses traits. Tu es Son image, si parfaite jusqu’à ce que cette touche obscure te fut attribuée... Me méprises-tu, Toi aussi ? Est-ce pour cela que je ne puis avoir qu'une copie déformée de Ton image ? Pars. Pars, infâme copie ! Je ne puis plus te voir d'avantage... Je ne peux regarder ton reflet sans cette effusion inutile de larmes. Va, Illusion des Temps Passés. Il me faut t'oublier. Va, Reflet imparfait de mes souvenirs de ténèbres... Va, et vis. Détache-toi de ces Chaînes que j'ai voulu t'imposer. Détache-toi de ton créateur. Va, et vis. Pour moi. Pour Elle. Vis les vies que nous n'avons pu vivre. Ne soit qu'Illusion, ou même Mirage si le cœur t'en dis.
Frêle pâleur immortelle, éternelle couleur d'air...
Laisse-moi te présenter au monde, ô créature, ô pâle reflet ! Laisse-moi placer des mots sur ce que tu pourras contempler, bientôt, émergeant de ton cocon d'énergie... La première chose qui vous frappera lorsque vous regarderez cette créature du nom de Kamyu sera sa blancheur éclatante. Oui, blancheur. Dire qu'elle a la peau pâle est peu dire. Vous en conviendrez, l'exagération est moindre de comparer la couleur de sa peau à celle de la neige. Quoi de plus normal ? Poète et Peintre ont travaillé à tant de blancheur. Tant de blanc... Et pourtant jamais assez. Pardonne-moi, ô Créature, car désormais, Lumière contera parmi des ennemis, aux côté de Chaleur. Ta blanche peau, si parfaite, si douce... Et pourtant, un piège mortel. Albinos. Je t’ai faite albinos. Ta peau si fragile fera cependant surement de toi une créature de nuit. Eh bien, Albinos ? Ris-tu de moi, de ma stupidité ? Ou bien me méprises-tu ? Fais. Fais donc, je l’ai amplement mérité. Ne me restera rien, après ton départ, hormis Mépris et Solitude. Va, voyageuse de blanc nappée. Ton histoire t’attend, loin de ton Créateur. Fais de ta fragile peau blafarde un atout. C’est ainsi que tu survivras.
Mortelle forme surmontant, insistant éclat d'orme...
Quelles sont donc, Artiste, ces deux choses que tu as rajouté là sur ma Kamyu ? D'un marron approchant le noir, je vois là deux arcs, de part et d'autre de sa fragile tête ! De ces arcs partent deux branches opposées, auxquelles est reliée une courbe se terminant par un bout pointu, et sans nul doute tranchant. Est-ce du bois ? S'agit-il de quelque chose de comparable aux bois de certaines créatures ? Ou bien s'agit-il du prolongement de son corps ? A n'en point douter, cette dernière option est la seule qui puisse te convenir, ma chère Kamyu... Aussi étrange que cela puisse paraître, tes cornes ne sont pas aussi pâles que ta nature albinos laisserait songer. De si belles cornes... Ne les abîme pas. Mais qu'est-ce là que ces fines rainures que je peux apercevoir sur le côté externe de tes cornes ? Est-ce pure fantasme de cet Artiste maudit, ou bien est-ce quelque chose que tu as souhaité avoir ? Non, je sais que tu ne me répondras pas. Mais les choses sont bien, ainsi.
Sinistre braise rougeoyante, variante sphère de sang...
Du rouge. Un rouge étincelant. Un rouge couleur de sang, un rouge sinistre qui de sa simple intensité fouille jusqu’au fond de votre âme. Un éclat de Folie, ou une lueur de bienveillance. Un rouge aussi sombre et aussi clair que celui que fait couler sa faux, que celui dont elle se tâche, que celui qui forme des mares à ses pieds. Oui. Ma création n’est pas la plus douce des fleurs. Et les épines de celle-ci sont particulièrement acérées. Un livre ouvert, de rouge recouvert, d’où transpire tantôt une naïve innocence, tantôt une soif de sang sans égal, un désir brusque de blesser, et pourtant une certaine retenue, un certain charme et une certaine délicatesse. Ce genre d’éclat où l’on croit pouvoir lire d’un simple regard, et où pourtant bien plus transparaît, un livre où les mots ne suffisent plus pour appréhender la chose, et où seul le silence permet d’en ressentir le poids. Oui, telle est ma Kamyu. Une œuvre que de simples mots ne peuvent décrire. A Son image. Mais elle n’est pas Elle. Le Silence de Kamyu est différent du Sien. Son livre de Sang vous permettra d’effacer vos derniers doutes quant à la nature albinos que je lui ai imposée.
Noires ailes d'ébène, reine des cieux..
Deux ailes se dressent fièrement dans le dos de notre jeune Yokaï. Deux larges ailes, suffisamment larges pour qu'elle puisse emprunter les courants à sa guise. Deux longues ailes, suffisamment puissantes pour lui permettre de résister à la plupart des bourrasques. De noires ailes, recouvertes de plumes. Noir. Associé aux ténèbres, au néant, à l'obscur, au mal, ou à tout ce que l'on veut d'autre. Noir... Un noir profond, pourtant différent. Un noir qui tâche autant avec sa peau, si pâle, et semble être la continuité maléfique de ses yeux rouges sang. De noires plumes recouvrent les ailes de la jeune fille, à la manière d'ailes d'anges. un ange déchu ? Non. Certains rapprocheraient ces ailes à celles des corbeaux. Ah ! Qu'as-tu osé faire, Artiste ? Ma création sera à jamais marquée par ce noir si.. Si lourd ! Mais tout cela n'est qu'illusion, mirage, je le sais, je le sens.. Tu Lui ressemble tellement, alors comment pourrais-je ne pas le savoir ? Ô, Kamyu ! Je prie pour que jamais ton masque ne se brise, et que toujours ces Ailes restent noir, de ce noir magnifique qui semble briller au coeur des Ténèbres, ce noir si pur malgré sa nature ! Mais je sais que peu y prêteront attention. Alors, je prierais pour toi. Pour que ces noires Ailes ne te portent pas plus préjudice qu'elles ne le font déjà...
Poupée de soie, poupée de verre. Fragile être bercé d'illusion...
Tu portes une robe simple, de couleur noire, ma Kamyu. Il semble que le noir soit une des couleurs que tu porte le mieux, finalement.. Jusqu'à ce que le voile se lève. Alors, tu ne Lui ressemblera plus. Non, ma Kamyu, je t'en prie, ne lève pas ton Illusion ! Même si pour cela tu dois me détester, me haïr et que ma vie ne doive plus être que mépris et désespoir, je t'en supplie, moi, ton Créateur ! Ne lève pas le voile, car alors, à la place d'Ailes de plumes Noires, tu révèlera deux Ailes recouvertes d'écailles acérées, semblables à celles des démons, d'un rouge sombre sinistre.. Car alors, les rainures sur tes cornes se teinteraient de cette lueur rouge que tu redoute tant, perçant des Ténèbres comme une menace muette.. Tu ne veux pas cela, je le sais. Tu ne veux pas de cet autre toi qui se réveille lorsque l'Illusion se brise. Elle aussi était comme cela. Pardonne-moi, je t'en prie. C'est arrivé parce que je t'ai fait à Son image. Non.. je sais qu'il est impossible que tu puisse me pardonner. Alors... Tue-moi, si c'est ce que tu souhaites. Mais ne brise jamais l'Illusion, ou rouge sang et gris seront les couleurs qui domineront autour de toi...
Description psychologique :Dans les grandes lignes parce que j'ai la flem de modifierais eut-être ça un jour.
Kamyu est une jeune fille de nature douce, qui n'aime pas spécialement blesser autrui. Si elle s'accroche à quelque chose, elle pourra se montrer têtue, et n'aime pas spécialement qu'on lui dise que faire. De même, elle ne supporte pas les endroits trop lumineux dû à sa constitution, trop bruyants ou où il y a trop de monde. Son attention peut se dévier sur une chose ou une autre très facilement à partir du moment où ça l'intéresse, en dehors de ça elle peut rester concentrer sur quelque chose au point de ne plus prêter attention à ce qui l'entoure tant qu'il n'y a pas trop de présences autour d'elle. Elle n'est pas, et de loin une spécialiste des relations, elle aura tendance à dire ce qu'elle pense de façon plutôt abrupte et n'utilisera que rarement le second degré.
Lorsque sa seconde personnalité se réveille, au contraire, elle sera du genre à cerner facilement les autres et à chercher à les manipuler. Plutôt sanguinaire, elle ne se lassera pas du sang et de tout ce qui va avec.. A ses heures, elle sait aussi se montrer raisonnable et essayera d'éviter de se mettre dans des situations trop problématiques, pour elle aussi bien que pour son autre personnalité dont elle a, elle, conscience. Elle pourra se montrer acerbe, cynique et pas franchement sympathique, mais elle n'a pas un si mauvais fond que ça, pas dans le sens où elle aidera qui en a besoin, trèès loin de là, mais plutôt qu'elle ne trahira pas les personnes qui lui font confiance ou qu'elle ne blessera pas ceux pour qui une de ses deux personnalités porte une certaine affection. Torturer ou faire d'autres choses peu, hm, morales, ne la dérange absolument pas. Par contre, elle n'aime aps qu'on s'intéresse de trop près à son corps et le supporte encore moins bien que son autre personnalité.
Apparition du personnage :Soudain, tout devint noir.
Prise d'une soudaine panique, qui n'avait à vrai dire aucune raison d'être, j'ouvris les yeux. Tout était noir. Mes yeux étaient-ils encore fermés...? Non. C'est simplement que la lumière ne pénètre pas, de là où je suis. Ici... Je suis bien. Je n'ai pas à me préoccuper du reste. Mais... Qui suis-je ? Et surtout... Que suis-je ? Je ne sens... Rien. Rien du tout. Il y a juste ce doux sentiment, ce murmure qui me dit qu'ici, je n'ai rien à craindre. Qu'ici, je suis... Chez moi. Que rien ne pourra m'arriver. Ne suis-je... Qu'un esprit ? Un esprit vierge... J'ai beau chercher, j'ai beau m'interroger, je ne trouve rien... Rien de plus que du néant. Est-ce donc ça ? Suis-je une part du néant ? Quelque chose de vide, quelque chose qui n'est rien du tout, et qui pourtant est dotée de la conscience d'être ? Je... J'ai cette chose... Son nom... Corps ? Voilà que j'ai conscience ce ce qui m'appartiens. Des membres... Quatre. Cinq. Longs. Ou très couts, je crois. Des outils. Des outils dont je doit apprendre à me servir. Je ne suis donc pas qu'un esprit. Mais... Je me sens mal. Ma poitrine est comme compressée. J'étouffe !! Je dois faire quelque chose... Mais, quoi ?
Je sens quelque chose se déchirer sous mes griffes et mes crocs. Non.. plutôt sous mes doigts, achevé par un coup de dent bien placé. Enfin, de l'air... Je peux respirer. Je me lève, fait quelques pas, titubante. Je trébuche. Je me sens tomber. Et je sens mon corps se cogner brutalement contre le sol. Je brûle.. J'ai mal. quelque chose est là, hostile, tout autour de moi. Puis, une ombre passe, soulageant ma douleur pour un court instant. Je lève alors la tête, et aperçois un reptile géant au dessus de moi, pourvu de puissantes ailes. Un nom. C'est cela, cette chose qui m'est venue à l'esprit, tout à coup..? Mais... Qu'était-ce ? Je l'ai oublié... Alors, pourquoi ne suis-je pas inquiète, alors que c'est la seule chose que je connaisse ? Je vais devoir attendre.... Je vais devoir attendre, pour le savoir. Mais... Dans mon dos... Des membres..? Les perdre ? Non,... Je vais les garder. Ca me brûle, à nouveau.. Je veux retourner dans l'oeuf. Je me relève, tant de bien que de mal, et me traîne jusqu'à l'oeuf. Là, je vois se refléter dans le liquide un visage enfantin, d'une pâleur mortelle, où la seule touche de couleur sont ces yeux, d'un rouge éclatant. Rouge sang. Et la seule trace de nuances... Peut-être est-ce ces cheveux blancs, tirant imperceptiblement sur l'argent avec les reflets du soleil. Il n'y avait personne aux alentours. Pas encore, du moins. Mais comment aurais-je su ce qui allait arriver ? Cette personne que je voyais, c'était moi. J'observai mon corps un peu plus longtemps. Kamyu. Oui, c'est cela. Kamyu. C'est ainsi qu'ils me connaîtront. Mais pas ce monde. Ce monde seul doit savoir, savoir qui je suis. Connaître mon nom. Car celui-ci n'est qu'un emprunt. Je vais garder ce qui m'a été donné. cette chose en moi qui m'a poussée à sortir... Même si j'aurais préféré restée dedans, dormir... Quelque chose... Déchirer le fond. Récupérer ce qu'on m'offre. Ainsi, je suis... Je n'ai rien pour me défendre. Même si ce sentiment chaleureux se répend en moi. Il partira bientôt, je le sais, mais.. J'attrapai ce qu'il y a au fond. Une robe. Assez simple, néanmoins élégante. je la passe. Elle est confortable. Et elle s'adapte à mes mouvements... Pratique. Une faux. Une faux noire, décorée. Crystal Dark. Et une paire de dagues. saurais-je m'en servir...? Une voix murmure que oui. Elles deviendront extension de mon corps. Je suis née avec. Je ne veux pas partir. Quelque chose d'humide coule sur mon visage. Je veux rester ici. Je veux dormir. J'étais si bien, dans cet oeuf... Quelque chose attirait indéniablement mon attention vers le fond... Je tendis le bras, attrapa un morceau d'étoffe qui restait dans le fond. Quelque chose d'ample, pourvu d'une broche et d'une capuche... Quelque chose qui me protégera de cette chose qui me brûle tant.. Quelque chose en est tombé. Un.. Collier ? Il est au fond de l'oeuf. je plonge mon bras à l'intérieur, pour le récupérer. Le liquide de l'oeuf me brûle, lui aussi. Il ne veut plus de moi. Il veut que je parte. Alors, je pleure, sans pouvoir me retenir. Je ne veux pas rester ici, dans ce monde hostile...
¤ Vous ¤ [/center]
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Votre PUF : Certains ici me connaissent comme « Feu Follet », mais généralement mon PUF est plutôt « Fougy ». Après, libre à vous d'en chercher un autre.
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